FPI-TMB : un avocat « Carlos » devient l’ennemi public numéro 1 du système judiciaire congolais( actualisé )

FPI-TMB : un avocat « Carlos » devient l’ennemi public numéro 1 du système judiciaire congolais( actualisé )

Un avocat au nom hautement suspect Carlos – qui rappelle l’ennemi public numéro 1 en France qui a commis un triple meurtre en 1975 et abattu deux policiers de la DST comme l’ex-patron Ghosn surnommé « le Fugitif » de la marque automobile franco-japonaise Nissan-Renault parti en cavale en 2018 et recherché par toutes les polices – Ngwapitshi Ngwamashi s’est joint tout récemment à un banquier juif, à la réputation sulfureuse mondialement connue, dans des campagnes d’expropriation et d’attribution illégales des villas des propriétaires congolais.
Le Carlos congolais vient de se faire produire mystérieusement un courrier daté du 25 mars 2021 signé par délégation Wasongolua Diawaku et Arsene Ntambuka que pendant des mois voire des années un expert comptable au verbe haut, à la grosse musculature semblable à l’Américain Kali Muscle, commis par le Tribunal de Commerce de la Gombe à Kinshasa, n’avait jamais réussi à obtenir.

AUX ABOIS.

De connivence avec un dirigeant d’une entreprise publique aux abois, fouiné par l’Inspection Générale des Finances, IGF en sigle, dans le cadre de cette entreprise de financement de l’industrie comme dans un mega-projet agro-industriel Bukanga Lonzo et le dossier Égal, il prétend par un miraculeux courrier datant du 25 mars 2021 que des sommes d’environ 440.000 $US auraient pu passer illégalement par un compte strictement privé, personnel et inactif du Professeur Tryphon Kin-kiey Mulumba à la TMB, Trust Merchant Bank, alors qu’il s’agit d’un financement industriel devant passer, selon la législation congolaise en la matière, par un compte professionnel expressément communiqué à la Rawbank, en l’espèce, de l’entreprise FPG, Finance Press Group.
Il faut s’attendre que des petits sites en ligne stipendiés par le FPI, Fonds de promotion de l’industrie et la TMB, reprennent « béatement » ce courrier sans se poser la moindre petite question professionnelle élémentaire ou les simples questions d’éthique professionnelle.
Par exemple, si par miracle, ce quasi demi-million de dollars américains de l’argent du contribuable congolais a pu effectivement approvisionner, à l’insu du propriétaire, le compte privé, personnel, inactif,
1. c’est un paiement en rapport avec quels services rendus par le professeur Tryphon Kin-kiey Mulumba – compliance, CENAREF, Banque Centrale, APLC, etc., devraient pouvoir activement s’intéresser à la question ;
2. pourquoi un si gros paiement effectué sur un compte privé, personnel, inactif ;
3. ce paiement a été effectué à la demande de qui et pourquoi ;
4. existe-t-il un document permettant (autorisant) d’identifier ce virement ;
5. qui a activé ce compte après que celui-ci a reçu ces paiements monstre et vers quels comptes ;
5. existe-t-il des preuves de ces opérations ;
6. à quoi a servi ce quasi demi-million de $US de l’argent public ainsi détourné ;
7. pourquoi depuis plusieurs mois cette situation n’avait jamais été communiquée à l’expert comptable à la taille et à la musculature de l’Américain Kali Muscle, commis par le Tribunal de Commerce de Kinshasa qui a dépensé plusieurs semaines voire plusieurs mois en vain entre le FPI et la TMB tentant s’ouvrir toutes les portes pour obtenir le moindre document comptable et vérifier la traçabilité de ces fonds ?

BUKANGA LONZO ET EGAL.

8. Si ce quasi demi-million de $US du contribuable congolais a servi via le FPI au remboursement d’une simple petite dette octroyée par la banque TMB au FPG (ce qui serait étonnant, condamnable car le FPI n’a pas pour mission de pourvoir au remboursement des dettes contractées par des privés auprès du système bancaire mais d’aider à construire un système industriel et commercial congolais) après des services rendus par le journal « Le Soft international », édité par FPG, par quel miracle cette banque, la Trust Merchant Bank du Juif Robert Lévy détient toujours le certificat d’enregistrement de la villa haut perchée du professeur Tryphon Kin-kiey Mulumba qui servait de gage au petit prêt octroyé aux Ets FPG et pourquoi le patron de la TMB réclamait il y a encore trois mois au professeur Tryphon Kin-kiey Mulumba une somme de 50.000,00 € – document à l’appui – avant de lui restituer son acte de propriété suggérant un « accord transactionnel »?
Pense-t-on par une telle mafia financière systématisée aider le secteur industriel congolais, mission du FPI et booster l’économie nationale ?
Il est vrai que le dossier Bukanga Lonzo et Egal fait à ce point du bruit dans les milieux judiciaires que les petits animaux dans la brousse qui a pris feu de toutes parts se sont mis à courir dans tous les sens pour tenter de se sauver ou s’enterrer en fuyant la chaleur du feu au point de continuer à détourner de l’argent public pour se payer à l’étranger d’ex-épouses naïves ou frivoles en vue de se servir.
Fils d’un procureur général résidant à Bandundu, province du Kwilu, Miami, « Carlos » semble avoir acquis nombre de dossiers qu’il fait « parrainer » par des amitiés en haut lieu dans le secteur judiciaire qui commencent à comprendre un jeu aussi volcanique intenable dans un régime Tshisekedi où même les magistrats ne doivent pas se croire au-dessus des lois de la République.
Réputé pour des pratiques illégales et mafieuses, un magistrat dit « gérer » des dossiers FPI de ce Carlos dans lequel l’établissement de financement « cherche à réaliser l’immeuble d’un particulier qui n’a jamais contracté avec FPI » mais « à coup d’argent public, le FPI cherche via Carlos qui se vante d’être de CACH à influencer certaines autorités judiciaires aux fins de condamner cette personne ».
Un autre magistrat sur la place judiciaire dit « parfaitement Carlos Ngwapitshi ».
Un « garçon trop zélé qui doit justifier les honoraires qu’il perçoit, en fait qu’il extorque auprès des entreprises publiques faisant valoir que l’Etat ne peut perdre un procès ».
Carlos ne badine pas sur les moyens et « corrompt sérieusement » les services administratifs notamment des notaires pour se faire livrer les mentions « exécutoire » quand les affaires sont pendantes devant les cours et tribunaux.
On fait état de plusieurs procédures engagées contre cet « ennemi public numéro 1 du système judiciaire congolais » qui instrumentalise des sites en ligne récemment créés pour le buzz et faciliter ses opérations d’escroquerie.
Sauf que ses mentors sont désormais cités au pénal pour détournement des fonds publics, escroquerie, tentative d’extorsion d’argent, chantage, etc., tout comme lui-même qui fait l’object de procédure devant le tribunal des pairs , le barreau de Kinshasa.

ZONGA NZELA.

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