Le jeune Sénateur Guy Loando Mboyo, l’homme qui fait peur à certains caciques du Grand Équateur

Le jeune Sénateur Guy Loando Mboyo, l’homme qui fait peur à certains caciques du Grand Équateur

Il est l’objet de quolibets. Une campagne de sape. Et le moment est bien choisi… Dommage! C’est le «ôtes-toi de là que je m’y mette». Classique. Des laboratoires politiques se sont mis à l’action, taxant le jeune Sénateur talentueux de «personnalité narcissique, orgueilleux, arrogant». L’heure s’y prête fort bien. Pas sûr que cela suffise pour l’abattre et abattre son combat politique et ses actions…
Dans ce combat, Guy Loando Mboyo brandit quatre des qualités rares qu’il réunit : expertise, rigueur, dynamisme, simplicité. Il met incroyablement la barre haut. Voire très haut…
Après plus de dix ans dans les milieux des affaires tant en interne qu’en international, il offre un profil favorable à tout ce qui nécessite expertise, rigueur, dynamisme outre le parfait homme avenant qu’il est. Licencié en droit de l’Université de Kinshasa, avocat d’affaires et Mandataires en Mines et Carrières de son état, Me Guy Loando a été élu Sénateur en 2019 en province de la Tshuapa. Il fait partie de 21 Sénateurs élus du Grand Equateur dont vingt élus en province et un dans la Capitale, Kinshasa.
Son parcours professionnel dans l’univers juridique et d’administration des sociétés au Congo a équipé ce jeune politicien d’atouts requis pour assumer avec compétence toutes les obligations d’Etat.
Avant son élection au Sénat, cet avocat de carrière, originaire de la Province de la Tshuapa, marié et est père de famille, a fondé le cabinet d’affaires GLM & Associates qui intervient notamment dans le domaine des mines et carrières.
Guy Loando Mboyo noue avec nombre de cabinets, BDL International Law Firm, Cabinet Heenan Blaikie AARPI, basé à Paris, Cabinet Emery Mukendi Wafwana & Associates, basé en RSA et New York, etc. Me Guy Loando n’est pas qu’homme de droit. Il est également un Congolais épris d’humanisme. Conscient des défis sociaux qui sévissent dans son pays, le juriste s’est vu investir de la mission d’y répondre en s’engageant dans le bien-être de la collectivité.
Il crée ainsi en 2018 la Fondation Widal, une structure humanitaire dont il est président et qui vise à assister les plus vulnérables de la société congolaise en général et de sa province d’origine en particulier.
La structure vise la résorption du chômage au moyen des formations en entreprenariat assurées aux jeunes congolais. Elle se propose en outre de promouvoir les valeurs qualitatives dans les domaines social, culturel et éducatif. Pour ce faire, WIDAL œuvre au développement de nouvelles initiatives en favorisant des contacts productifs et des échanges d’information avec différents partenaires œuvrant tant dans le secteur public que privé, sur le plan national et international.
Elevé dans la foi catholique par des parents enseignants, Loando a été dès son enfance forgé aux valeurs de discipline, de travail, d’honnêteté et d’altruisme. Ces valeurs ont accompagné le Sénateur tant dans son parcours scolaire, social que professionnel. Elles ne manqueront pas de dicter la conduite de cet avocat à la questure du Sénat.
Plus que jamais, Me Loando incarne le renouvellement de la classe politique congolaise intervenu à l’occasion des derniers scrutins. Porteur d’une vision d’un Congo de l’alternance par la compétence, l’avocat d’affaires est déterminé à mettre au service de la Nation et de la population congolaise son expérience acquise dans le secteur privé. Au regard de son profil, le Congo peut s’en server au mieux.

PROJET ET AMBITION.
Au fond, Me Guy Loando Mboyo n’avait pas en soi, pour vivre, lui et sa famille, besoin ni d’un strapontin au Parlement congolais, ni d’un siège haut perché dans sa Chambre haute.
S’il a décidé de prendre de l’envol en se lançant en candidat indépendant dans la conquête du Sénat c’est poussé et encouragé par les siens. Mais, fondamentalement, parce qu’il a un projet et une ambition pour les siens et pour le Congo et qu’en l’espèce, il estime que dans la vie, il ne faut jamais faire les choses à moitié et que cet homme qui s’identifie comme l’un de ces jeunes nouvelle génération à l’esprit conquérant trempé, est tout sauf celui qui n’aurait pas envie de faire de vieux os dans ce qu’il entreprend.
Dans l’un de ses multiples bureaux aseptisés tapis dans le summum quartier du fond de la Gombe qui ne désemplit pas, l’élu des élus de la Tshuapa s’enfonce peu dans son fauteuil de cuir noir de trône. Allant d’un invité à un autre, il consulte, écoute, parle.
D’abord avec ses collègues Sénateurs avec qui il a tissé des relations de parfaite confiance. Puis avec ceux sur qui ilveut plus que jamais s’appuyer et dont il a besoin d’un accompagnement engage : les opérateurs politiques du Grand Equateur qu’il veut pleinement et entièrement mobiliser en offrant de mutualiser des projets de développement mais aussi avec tout autre élu d’influence, local ou national dans cet ex-Grand Equateur qui, des années durant, vibra sous le charme du Maréchal, et qui a semblé aller en mille morceaux, ces dernières années. Puis avec les milieux de la haute finance et des investisseurs, ceux sans lesquels rien n’est possible.
Me Guy – comme on l’appelle familièrement, a juré de faire la différence quand une certaine génération d’aînés de la province a trébuché. Il a ainsi entrepris de se porter en martyr, explique-t-il, en se sacrifiant pour le sort de la Tshuapa trop longtemps marginalisée et qu’il ne veut plus jamais que sa population soit considérée comme des rebuts de la République.
Dans un pays où le positionnement politique est crucial pour qui veut entreprendre et réussir, ce serait se mentir à soi-même si Me Guy Loando Mboyo refusait de lorgner sur un piédestal d’où il boosterait mieux l’espoir des siens.
Un jour, cet homme avenant est hors de lui et a eu ces mots à la bouche, signe de grande révolte: «C’est à tort qu’on attribue aux Tshuapoises et Tshuapois de Kinshasa le rôle du second plan. Non! Cela doit s’arrêter. La Tshuapa ne mérite pas ça!».
C’est précisément cette condition qui l’a conduit avec son épouse Deborah, à pousser les leurs – Tshuapoises et Tshuapois – à s’engager à déplacer les limites de la précarité constatée avec dégoût lors d’un retour au pays de ses ancêtres, après en être parti, 28 ans plutôt, à Bokungu et autres territoires de la Tshuapa, qui l’ont vu naître.
Le 5 septembre 2018, le couple (respectivement président et vice-présidente) a ainsi lancé une ONG de développement, un vrai navire amiral.

«SEUL, JE NE SAURAI PAS».
Objectif de cette Widal Foundation, comme il le dit lui-même: «Redonner de la valeur aux fils et filles de la Tshuapa, participer à l’émergence de la dignité humaine de la population de la province, poursuivre l’atteinte des valeurs qualitatives dans le domaine de l’action sociale, culturelle et éducative».
Ce projet dont la devise est «toujours ensemble pour le bien-être de tous», est né d’«une réflexion approfondie précisément sur la précarité de la situation sociale des habitants de la province de la Tshuapa en particulier et celle de la ville province de Kinshasa en général… Nous voudrions, à travers Widal Foundation, porter la situation de Tshuapa», explique Guy Loando Mboyo.
«Mais seul, je ne saurai porter ce combat. Aussi, je demande votre concours pour qu’ensemble, nous donnions valeur, dignité et puissions redorer l’image de notre chère province», explique-t-il.
Fondamentalement, Guy Loando Mboyo se dote d’une mission qui consiste à «participer à l’émergence de la dignité humaine de la population de la Tshuapa et, par ricochet, celle de tous les Congolais».Depuis la Chambre haute du Parlement, droit dans ses bottes, niché au Bureau de cette Chambre, fort d’une expérience avérée dans divers domaines du droit et des affaires, il disposera des nouveaux leviers pour «agir en faveur du pays, apporter sa part de contribution à un Congo meilleur».

D. DADEI.22

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